• Kaleb, saison 1. C'est si bon d'être mauvais

    Auteur : Myra Eljundir

    Éditeur : Robert Laffont

    Collection : R

    Juin 2012

    Couverture illustrée en couleurs, 442 pages, 22cm

    ISBN : 978-2-221-12682-0

    Prix : 18€

    Genre : fantastique

    Thèmes : violence, empathe, thriller, bien/mal, émotions, violence psychologique

    Age conseillé par Ricochet : à partir de 15 ans

     

    Quatrième de couverture :

    À 19 ans, Kaled Helgusson se découvre empathe : il se connecte à vos émotions pour vous manipuler.
    Il vous connaît mieux que vous-mêmes.
    Et cela le rend irrésistible.
    Terriblement dangereux.
    Parce qu'on ne peut s'empêcher de l'aimer.
    À la folie. À la mort.

    Sachez que ce qu'il vous fera, il n'en sera pas désolé.
    Ce don qu'il tient d'une lignée islandaise millénaire le grise.
    Même traqué comme une bête, il en veut toujours plus.
    Jusqu'au jour où sa propre puissance le dépasse et où tout bascule...
    Mais que peut-on contre le volcan qui vient de se réveiller ?

    Déconseillé aux âmes sensibles et aux moins de 15 ans

     

    Mon avis :

    La suite, la suite !!!!

    En effet, difficile de résister à Kaled. Son histoire nous plonge dans un monde fantastique où le bien et le mal s'affrontent. Mais la frontière entre les deux est parfois très mince.
    On le voit découvrir son don d'empathe, essayer de l'apprivoiser, en avoir peur....
    De quel côté va-t-il basculer ?
    Le mal semble l'attirer, mais la culpabilité l'inonde après ses exactions... pas pour très longtemps malheureusement.
    Il fait la connaissance d'autres EDV (Enfant Du Volcan) par le Net qui possèdent d'autres dons, mais sa paranoïa le fait se méfier de tous.
    Et il a bien raison...
    Les EDV sont traqués par les SENTINEL, qui les kidnappent, les torturent, les testent...
    Le pire d'entre eux est le colonel Bergsson. Il est toujours accompagné par son assistante qui doit jouer un grand rôle dans la traque de Kaled.
    Le personnage de l'assistante reste mystérieux pendant une bonne partie du roman, puis on découvre qu'il s'agit aussi d'une EDV dont le don a été contenu, mais plus pour longtemps.
    Ce roman se lit facilement et on est curieux d'en savoir plus sur ces dons, plus sur l'assistante du colonel et sur le colonel lui-même.
    L'histoire prend de la consistance à partir de la quatrième partie et là on ne peut plus lâcher ce roman.
    Lorsqu'on arrive à la dernière page, plus qu'une seule envie : connaître la suite...

    Kaleb, saison 1. C'est si bon d'être mauvais

     

    3/5

     

    D'autres avis pour vous faire une idée plus précise car tous ne l'ont pas apprécié (trop de mauvais sentiments, trop de dureté...), chez Léna et les Bookenfolie, chez Le Monde de Francesca, chez Livresse des Livres, chez Lire délivre (des livres)

     

    Kaleb, saison 1. C'est si bon d'être mauvais

     


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