• Science fiction

    Anticipation, uchronie, utopie... la science fiction regroupe de nombreux "sous-genres".

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  • Ever DarkAuteur : Veronica Rossi

    Traduit de l'anglais (États-Unis) par : Jean-Noël Chatain

    Éditeur : Nathan

    Octobre 2013

    Couverture illustrée en couleurs par Mélanie Delon, 348 pages, 14x21 cm

    ISBN : 978-2-09-253716-9

    Prix : 16,50 €

    Genre : science-fiction, dystopie

    Thèmes : fantastique, aventure, amour, quête, survie

    Age conseillé par la Bnf, La joie par les livres : à partir de 13 ans ; par Ricochet : à partir de 14 ans

     

    Quatrième de couverture :

    Aria et Perry se retrouvent enfin, mais leur bonheur est de courte durée.
    Les tempêtes d'Ether se déchaînent, plus meurtrières que jamais.
    Il ne resterait qu'un seul endroit vivable sur Terre, le Calme Bleu. Existe-t-il vraiment ?
    C'est ce qu'Aria et Perry doivent découvrir : Perry pour sauver sa tribu, Aria parce qu'elle est sous la menace d'un horrible chantage. Mais pourront-ils mener cette quête ensemble ?
    Une Sédentaire et un Sauvage ne sont pas censés se venir en aide, et encore moins s'aimer...

    "La tension et l'émotion m'ont submergé pendant que je lisais – chaque seconde est une perfection !"
    Henry, bloggeur

    "Une aventure palpitante – une histoire d'amour impossible et inoubliable."
    www.epicreads.com

    Mon avis personnel, à moi :

    J'attendais ce deuxième tome avec impatience et je n'ai pas été déçue, même si j'ai préféré le premier.
    On retrouve Aria et Perry avec plaisir, ainsi que certains de leurs compagnon et notamment Roar et Cinder qui tiennent des rôles importants dans ce tome.
    Aria et Perry doivent trouver l'emplacement du Calme Bleu, là où les tempêtes d'Ether pourraient épargner les leurs. Perry souhaite découvrir cet endroit pour mettre son peuple à l'abri ; Aria, elle, sauvera Talon, le neveu de Perry, si elle trouve cet endroit.
    Ce deuxième opus est truffé de rebondissements. La quête du Calme Bleu n'a rien d'une partie de plaisir et Aria a bien du mal à se faire accepter par la tribu de son doux et tendre ; leur histoire d'amour en souffre souvent ; celle de Roar avec Liv, la sœur de Perry, vire au drame, Cinder, sur la fin, prend une importance capitale...
    La capsule où vivait Aria est endommagée par les tempêtes d'Ether de plus en plus violentes et fréquentes ; elle fera tout pour sauver ses proches et surtout Talon.
    Mais je n'en dis pas plus, à vous de découvrir ces multiples péripéties !
    Bref, une suite riche d'aventure, d'amour, d'épreuves. Bien que cette deuxième partie m'ait moins passionnée que la première partie, j'attends le prochain tome avec d'impatience...

    Ever Dark

     

    3/5

     

    D'autres avis :

    - Ricochet
    - Gala de livres
    - Le blog de Galleane
    - Ma vision du livre 2
    - Livres & Mots
    - Megworld
    - Lanylabooks
    - Muti et ses livres
    - Lecture en blog

     

    Ever Dark

     

     

     


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  • Astor, le riff de la rueAuteur : Richard Harland

    Traduit de l'anglais (Australie) par : Valérie Le Plouhinec

    Éditeur : Hélium

    Octobre 2013

    Couverture illustrée en couleurs par Séverin Millet, 364 pages, 14,5x20cm

    ISBN : 978-2-330-02292-1

    Prix : 15,90 €

    Genre : uchronie, steampunk

    Thèmes : musique, complot, société, classes sociales, amour

    Age conseillé par la Bnf, La joie par les livres : à partir de 13 ans

     

    Quatrième de couverture :

    - Où allons-nous ? demanda la jeune fille.
    - Le plus loin possible de ce quartier. Ces grosses maisons que tu vois, c'est là que vivent les riches.
    - Nous allons chez les pauvres ?
    - Chez les plus pauvres des pauvres. Dans la Zone.
    Cela ne disait rien qui vaille à Astor.
    - On n'est pas bien, ici ?
    - Dans la Zone, personne n'ira te dénoncer aux Swale.
    Avec un peu de chance, on arrivera à entrer dans un gang.
    - Je ne veux pas faire partie d'un gang.
    - Ah non ? Et pourquoi ?
    - Je n'aime pas les gangs des taudis.
    - On n'a pas le choix. Ce n'est pas possible de survivre seul, là-bas.
    Astor avait en tête une bonne douzaine d'arguments contraires, mais tous se résumaient à une objection criante : ces gangs ont tué mon père.

    Et si les groupes de rock avaient été inventés au dix-neuvième siècle ?
    Et s'ils avaient changé le cours de l'Histoire ? Dans les taudis de Brummigham, en 1847, les gangs de parias inventent un nouveau genre de musique, une musique emplie de rythmes détonants et de guitares folles. Astor Vance, elle, a grandi bercée par les notes mélodieuses de la harpe et du piano. Mais peut-être que pour elle la seule manière d'échapper au destin de gouvernante qu'on lui impose et de survivre sera de jouer la musique des gangs...

    Mon avis personnel, à moi :

    On retrouve ici l'auteur du Worldshaker.
    Ses héros sont à nouveau un duo fille/garçon que tout oppose.
    Elle, Astor, vient d'une assez haute classe sociale ; lui, Verron, viens des bas-fonds.
    Elle se retrouve gouvernante chez de riches ploutocrates (industriels qui, grâce à leur fortune, dirige le monde, le pollue...), les Swale, alors qu'elle pensait que son beau-père voulait la marier à l'un des frères Swale. Le valet qui l'accompagne n'est autre que Verron.
    Elle ne digère pas cette tromperie et s'échappe avec l'aide de Verron. Ils n'ont d'autre choix que de rejoindre un gang pour échapper aux puissants frères Swale.
    C'est grâce à la musique, qu'Astor affectionne, qu'ils réussiront à en intégrer un ; celui de Granny Rouse. Cette dernière, dans une vision, découvre un groupe de gang musique deviendra célèbre et bien au-delà de la Zone où ils vivent. Ce groupe, de cinq personnes, sera composé entre autre de Verron et Astor.
    Ce groupe sera amené à modifier le cours de l'Histoire...

    La psychologie des personnages est assez intéressante, notamment celle des membres du groupe. On découvre leurs caractères, leurs manières d'envisager l'avenir du groupe et ce qu'ils sont prêts à faire pour accéder à la gloire et la célébrité.
    L'atmosphère, légèrement steampunk, est très sombre, tout comme la vie dans la Zone.
    Quelques petites choses m'ont un peu exaspérées, comme le fait que chaque concert soit plutôt mal barré au départ mais que, miracle, grâce à Astor et sa batterie l'ambiance explose et tout se finit dans un délire musical et dansant.
    Mais bon, mis à part cela, je me suis assez attachée aux personnages et leurs aventures m'ont vraiment plu.
    La musique en première ligne, des personnages atypiques et attachants, une histoire dans l'Histoire et un peu d'amour par-dessus et le tour est joué.
    Un roman qui ne sera pas un coup de cœur mais aura le mérite de m'avoir fait passer un bon moment dans une ambiance musicale mâtinée de steampunk.

     

    Astor, le riff de la rue

     

    3/5

     

     

    D'autres avis :

    - Bnf
    - Culturez-vous
    - Ne vois-tu rien venir ?

     

    Astor, le riff de la rue

     


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  • Réseau(x)Auteur : Vincent Villeminot

    Éditeur : Nathan

    Mai 2013

    Épreuves non corrigées :

    Couverture non illustrée, 448 pages, 14 x 21 cm

    ISBN : 313-309-202905-9Réseau(x)

    Exemplaire ne pouvant être vendu

    Genre : anticipation, fantastique, thriller

    Thèmes : cauchemar, rêve prémonitoire, réseaux sociaux, MMORPG, internet, conflit, virtuel/réel

    Age conseillé par Ricochet : à partir de 14 ans

     

    Quatrième de couverture :

    Sur les réseaux tout le monde pense connaître tout le monde. Tout le monde aime, surveille, espionne tout le monde. Mais désormais, une guerre est déclenchées, sur le web et dans le monde réel. Et Sixie, 15 ans, est l'enjeu, le butin, le gibier de tous les combattants...

    Mon avis personnel, à moi :

    C'est avec la trilogie Instinct que j'ai découvert cet auteur. J'avais trouvé le thème plutôt original... allait-il m'étonner à nouveau avec cette série ?


    À première vue, je n'en étais pas vraiment convaincue. En effet, la quatrième de couverture ne m'emballait pas plus que ça ; encore une histoire de réseaux sociaux (c'est un peu à la mode en ce moment) et les mots gibier, butin, combattants ne me semblaient guère engageants.
    S'agissant d'épreuves, pas de couverture pour m'amadouer... alors, il ne me restait plus qu'à commencer ma lecture.


    Des titres de chapitre tel un compte à rebours : Janvier, treize mois avant l'action dans la première partie et chronologique ensuite.
    Dès le début, j'ai été très déstabilisée par l'entrée en matière qui me plongeait dans l'horreur informatique, voyez plutôt :
    [Emis sur la page DKB/MDP SixieDREAMY.
    T&P : amourette / meurtre / noyade
    30 janvier, 09.30 a.m.]
    Argh, qu'est ce que c'est que ce charabia ? Mais bon l'auteur est sympa et au fur et à mesure du scénario tout s'explique.
    Bon, je prends sur moi et je continue malgré ça ma lecture et... grand bien m'en a prit !!!


    L'héroïne, disons principale, Sixtine fait des rêves ou plutôt des cauchemars qui peuvent se révéler prémonitoires et les publie sur DreamKatcherBook (le DKB devient moins obscur, non ?), un site où l'on raconte ses visions nocturnes en public ou en privé.
    Le problème c'est que, sur ce site où on peut également poster des vidéos, Sixtine en a découverte une plutôt inquiétante. Celle-ci met en scène un de ses cauchemar, qu'elle a pourtant publié en privé, où on l'a reconnaît parfaitement grâce à son tatouage et à la tête de licorne qu'elle porte dans ses propres films et où... elle commet un meurtre.
    Cela perturbe la jeune fille, qui l'est déjà pas mal par ses nuits agitées, terrifiantes, hantées ; elle souffre de divers troubles de l'endormissement et du sommeil qui lui rendent la vie infernale. Sa sœur Mathilde, médecin, vit avec elle, la soutient et la soigne avec amour.


    Quelques chapitres plus loin, on découvre un autre protagoniste important de l'histoire Cèsar Diaz, aussi connu sous le nom de Nada#1, leader du PIFR (Play It For Real) qui organise des jeux de rôles grandeur nature (un peu comme des flash mobs mêlés de MMOG réels) à grands coups de paintball et qui causent pas mal de dégâts matériels. De plus, Nada#1, anarchiste, se plaît à ridiculiser les grands de tous les pays. Un personnage plutôt sympathique au premier abord mais on découvrira aussi qu'il est légèrement mégalomane et un peu schizophrène !


    Il y a aussi le commissaire Fanelli, ancien alcoolique, atteint d'un cancer, qui ne voit plus guère ses filles et qui trouve un soutien dans les livres ; Alice Kowacks, jeune flic en rupture sentimentale. Tous deux traquent les cybercriminels. Et il y a également, Théo, admirateur de Sixtine et frère de Cèsar Diaz ; Maud, étudiante révolutionnaire et son compagnon Jérémy qui voyage dans les paradis artificiels ; Vittorio, bras droit de Nada#1 et bien d'autres encore...


    Comment ces nombreux personnages vont-ils se croiser, se rejoindre, se rencontrer et surtout pourquoi ?
    Je ne vous l'expliquerai pas (je vous laisse le plaisir de le découvrir par vous-même), je vous dirai seulement qu'après un départ assez retenu, l'action s'accélère, s'amplifie ; que les événements s'enchaînent à un rythme soutenu ; qu'on ne peut plus quitter ces personnages, qu'on cherche à savoir où veut nous emmener l'auteur. Tout cela dans un déferlement d'adrénaline, d'actions, d'angoisse, de frayeur...


    Lorsque j'ai lu ce roman, j'ai eu l'impression d'être emporté par un tourbillon, d'abord doucement puis de plus en plus vite pour retomber après la dernière ligne en me disant : vite, vite, la suite !
    Pour moi, il s'agit d'un roman vraiment original avec une intrigue génialement construite, tout à fait vraisemblable, des personnages profonds à la psychologie étudiée, qui tous se rejoignent, se croisent, se trouvent et doivent composer avec ; un roman qui démontre que la frontière entre réel et virtuel est infime ; un roman bourré de références, ; un roman qui vous entraîne sans plus vous lâcher, un roman tout en mouvement...
    Même s'il peut paraître nébuleux au départ, je vous conseille vivement de vous cramponner, puis d'y plonger et de vous laisser entraîner par l'accrocheuse écriture de l'auteur qui maîtrise parfaitement son sujet...

    Donc malgré un début qui m'a un peu mise en difficulté, cette lecture a été un réel moment de plaisir et en ce moment, peu de romans réussissent cet exploit !
    De plus, savoir qu'il s'agit d'une série, qu'il y aura donc une suite, que je retrouverai cet univers, ces personnages me fait jubiler (bon, je sais le sujet du livre n'a rien d'amusant ou de réjouissant, mais c'est toujours l'effet que me fait un bon bouquin). La suite, la suite... Monsieur Villeminot !


    Je tiens à remercier vivement les éditions Nathan et le blog de Lire en Live grâce à qui j'ai pu découvrir ce roman en avant-première et surtout l'auteur pour ce voyage dans un monde qui, un jour, pourrait bientôt devenir le nôtre.

    Réseau(x)

     

    5/5

     

     

     

    D'autres avis :

    - Ricochet
    - Livresse des mots
    - Ly-lit
    - Une souris et des livres
    - Encres et calames
    - La forêt de mots d'une cerise timide
    - Les chroniques de Miawka
    - Sophie songe
    - Lire une passion

     

    Réseau(x)

     


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  • Auteur : Gilles Fontaine

    Éditeur : Seuil jeunesse

    Juin 2012

    Couverture illustrée en couleurs, 195 pages, 14 x 21 cm

    ISBN : 978-2-02-108657-7

    Prix : 10 €

    Genre : dystopie, science-fiction, anticipation

    Thèmes : virus, maladie, adolescence, solidarité, amitié, société

    Age conseillé par Ricochet : à partir de 12 ans

     

    Quatrième de couverture :

    Un mystérieux virus fait des ravages dans la population. Les adolescents, seuls épargnés, sont soupçonnés de transmettre la maladie.
    Devenus les parias d'une société en déroute, Thomas et des centaines de milliers d'autres sont montrés du doigt, rejetés, puis mis à l'écart.
    Livrés à eux-mêmes, sans adultes pour les guider, les plus forts font régner la terreur.
    Thomas et ses amis, eux, refusent cette fatalité et réagissent.
    Leur but ? Rester solidaires et justes.
    Rester humains.

    Mon avis personnel, à moi :

    Une bonne idée de base mais pas assez développée à mon goût.
    On ne ressent pas vraiment l'oppression, la mise au ban subies par les ados. Et ce qui m'a vraiment le plus déçue, c'est le traitement des personnages.
    En effet, leur personnalité, leur psychologie sont à peine survolées. J'aurais aimé les connaître un peu mieux afin de m'y attacher et de suivre avec plus de passion leurs aventures.
    J'ai tout de même apprécié Lucas, personnage secondaire renfermé sur lui-même à la limite de l'autisme et Lucie, personnage plus étoffé, dont on découvre un passé et un vécu difficile.
    On ne sait également pas grand chose sur ce virus, ni comment il se résorbe d'un seul coup...
    Les adultes sont quasiment absent de ce roman. Il y a bien Antoine, qui semble prêt à soutenir les ados dans leur lutte mais cela ne va guère plus loin. On trouve tout de même une scène assez touchante entre Thomas, le héros, et son père.
    Bref, un petit roman qui se lit facilement mais qui aurait mérité un traitement plus dense.

    Les intouchables

     

    2/5

     

     

    D'autres avis :

    - Ricochet
    - Les livres de Melisande
    - Rexlit, les lectures de Titisse
    - Le monde de Francesca
    - Toshokan
    - Fairy neverland
    - Yozone
    - Bit-lit, le blog
    - La vie des livres
    - Les chroniques de l'imaginaire

     

     

    Les intouchables

     


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  • Auteur : Francine Prose

    Éditeur : Seuil/Métailié

    Traduit de l'anglais (États-Unis) par : Cécile Nelson

    Janvier 2013

    Couverture illustrée en couleurs, 238 pages, 14x21cm

    ISBN : 978-2-02-108974-5

    Prix : 13€

    Genre : science-fiction, anticipation

    Thèmes : collège, violence/délinquance, société, surveillance, adolescent, futur totalitaire

    Age conseillé par Ricochet : à partir de 14 ans

     

    Quatrième de couverture :

    Après qu'une fusillade a fait plusieurs morts dans un lycée voisin, le docteur Willner est envoyé à Central High pour y faire régner l'ordre et empêcher un nouveau drame. Fouilles systématiques, instauration d'un code vestimentaire strict, interdiction des téléphones portables et de lectures jugées dangereuses... De l'autorité à l'autoritarisme, il n'y a qu'un pas.

    Tom Bishop, lui, aurait pu rester un lycéen sans histoire. Mais quand ses camarades en révolte commencent à disparaître, il prend conscience qu'il doit agir.

    C'est souvent dans les situations extraordinaires que naissent les héros, même les plus ordinaires...

    Sélectionné par l'Éducation nationale dans sa liste "Lectures pour les collégiens, classe de troisième".

     

    Mon avis :

    Comment, petit à petit, par petites touches infimes des ados vont perdre leurs privilèges et se retrouver fliqués.
    Suite à une tuerie dans un lycée à 80km situé à 80 km du sien, Tom Bishop et ses camarades va voir ses droits réduits à une vitesse affolante par le Docteur Willner appelé à la rescousse pour faire régner l'ordre. Tout d'abord un code vestimentaire va être instauré au sein du lycée, puis les téléphones portables interdits, certaines lectures censurées... mais cela va aller encore plus loin.
    Les élèves récalcitrants vont être envoyés dans des camps de redressement et certains n'en reviendront jamais, tout comme certains professeurs trop laxistes au goût du Docteur Willner.
    Celui-ci appellera à la délation, fera régner la peur dans le lycée et même en dehors. Il réussira même à mettre les parents de son côté avec une méthode de lavage de cerveau que je vous laisse découvrir !
    Mais Tom et ses amis n'ont pas l'intention de se laisser faire...
    L'objectif, qui était d'éviter une autre tuerie, se transforme en surveillance intensive des élèves, en manipulation des parents, en interdictions idiotes et va jusqu'à influencer les ados sur ce qu'ils doivent lire, regarder, écouter... on est proche, très proche du totalitarisme !

    Un roman agréable à lire et assez vraisemblable, des personnages sympathiques (sauf le docteur Willner bien sûr !) et une montée dans la surveillance et l'autoritarisme qui fait peur. Une fin ouverte qui laisse le lecteur libre d'envisager l'avenir des protagonistes.
    (Mais j'aurais bien aimé savoir ce qui était arrivé aux élèves et professeurs disparus ; je n'ai plus qu'à imaginer...)

     

    Après

     

    4/5

     

     

    Après


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